Amertumes

mercredi 1er mai 2013 , par Marx Teirriet

Or, l’amer
Tu me rends sot

De puce
En
Papillons zélés

Je barre sur la liste
Mon canot
Sans bouée

Ballet de vers
, de blancs

Dans l’iris de l’ombre infinie de la mer ubiquiste.

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Parme

Une à une, larmes, gouttez ! En vidant mon cœur énamouré. Que chacune, parme, mêlée De nos ans, nos sueurs, file à jamais. Ô diurnes (…)